Peyrusse-le-Roc

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Peyrusse-le-Roc
Peyrusse-le-Roc
Les tours de Peyrusse-le-Roc
Blason de Peyrusse-le-Roc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Montbazens
Maire
Mandat
Michel Forey
2020-2026
Code postal 12220
Code commune 12181
Démographie
Gentilé Pétruciens
Population
municipale
207 hab. (2021 en diminution de 9,61 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 48″ nord, 2° 08′ 29″ est
Altitude Min. 233 m
Max. 496 m
Superficie 13,81 km2
Élections
Départementales Canton de Lot et Montbazinois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Peyrusse-le-Roc est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Pétruciens.

Le patrimoine architectural de la commune comprend sept immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'hôpital des Anglais, inscrit en 1992, le marché couvert, inscrit en 1992, la synagogue, inscrite en 1992, la porte de la Barbacane, inscrite en 1993, l'église Notre-Dame-de-Laval, classée en 1995, le château Inférieur, inscrit en 1995, et le château de la Caze, inscrit en 2018.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Les Albres, Asprières, Drulhe, Galgan, Naussac et Sonnac.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 060 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Bas Ségala à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Contrairement à une légende locale qu'on retrouve dans d'autres villages de France, Jules César n'a jamais parlé de Peyrusse[7].

Pépin le Bref, après la diète de Bourges, chercha à se rendre maître de la personne du duc d'Aquitaine Waïfre (ou Gaïfier). En , il assiégea Peyrusse et se rendit maître de la forteresse.

Robert II dit le Pieux, roi de France fit halte à Peyrusse en 1031.

le , Peyrusse reçut dans ses murs Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, auquel Hugues, comte de Rodez vint rendre hommage.

La cité de Peyrusse était le chef-lieu du plus grand bailliage du Rouergue (106 paroisses) et il abritait dans ses murs 187 hommes en armes et 4 chevaliers, elle comptait jusqu'à 40 familles nobles, dont la famille de Peyrusse, les Medicys, les Cornely, la famille Besse, mais aussi six notaires, un changeur de monnaie, et de nombreuses fabriques.

Peyrusse tirait profit de ses mines argentifères exploitées depuis l'antiquité : sept puits de mines sont répertoriés sur le territoire actuel de la commune. Le commerce de la ville était important : plusieurs foires et deux marchés hebdomadaires.

Le , une charte de privilèges a été accordée à la commune par Charles V et signée entre les consuls de la ville et le comte de Rodez au nom du duc d'Anjou et du roi.

La ville se dépeupla au cours du XVIIIe siècle et fut livrée à des entreprises de démolition au XIXe siècle et au début du XXe siècle. Une prise de conscience collective a vu le jour à partir de 1956, pour sauver les restes de ce patrimoine. Le maire Louis Cassan-Louis, l'instituteur Azais, le secrétaire Joulie, Maurice Vernhes, Hervé, Hubert, Revel, Gibergues et le garde champêtre Delmoly en ont été les pionniers, avec d'autres ; c'est à cette époque qu'on a redécouvert un mausolée du XIVe siècle appelé localement le Tombeau du roi.

Aujourd'hui, le site est un lieu de villégiature et de tourisme.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1995 mai 2020 Francis Savignac [8] DVG Agriculteur
mai 2020 En cours Michel Forey    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[10].

En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 1], en diminution de 9,61 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9057218308871 0079131 000926999
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
947966981926932929919852812
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
739695646571567525524464389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
392392383374288229212204218
2014 2019 2021 - - - - - -
226214207------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
Histogramme de l'évolution démographique

Au début du XXe siècle, Peyrusse-le-Roc comptait 739 habitants[13].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 90 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 203 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 010 [I 1] (20 640  dans le département[I 2]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 6,4 % 7,4 % 4,1 %
Département[I 4] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 127 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (73,2 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 3],[I 3]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 6]. Elle compte 43 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 43 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 96, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,7 %[I 7].

Sur ces 96 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 79,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

32 établissements[Note 4] sont implantés à Peyrusse-le-Roc au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 10].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 32
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
13 40,6 % (17,7 %)
Construction 3 9,4 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
10 31,3 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 1 3,1 % (3,4 %)
Activités immobilières 1 3,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
1 3,1 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
3 9,4 % (12,7 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40,6 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 32 entreprises implantées à Peyrusse-le-Roc), contre 17,7 % au niveau départemental[I 11].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[14]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 45 29 24 21
SAU[Note 7] (ha) 997 1 152 1 236 1 357

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 45 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 29 en 2000 puis à 24 en 2010[16] et enfin à 21 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 53 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[17],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 997 ha en 1988 à 1 357 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 65 ha[16].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le pont roman du Parayre (ou Pareyre).
En couleurs.

Sept monuments historiques

  • Église Notre-Dame-de-Laval de Peyrusse-le-Roc. L'église actuelle aménagée en 1680 dans les anciennes écuries du Château supérieur. La Croix Saint Georges.
  • L'ancienne église Notre-Dame-de-Laval, avec une nef de 40 mètres et 12 chapelles latérales. Logo monument historique Classé MH (1995, Vestiges de l'église, avec son beffroi, avec leurs emprises au sol)
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié de Peyrusse-le-Roc.
  • Le château de La Caze (propriété privée).
  • Le château inférieur, ruiné, sur e Roc del Thaluc avec ses deux tours (« pain de sucre » de 150 mètres de haut depuis le ruisseau).
  • La Statue des douleurs (servant de monuments aux morts).
  • La Porte du château du roy.
  • Le Donjon, avec sa tour de garde, et sa prison et oubliettes.
  • La Porte neuve — vue panoramique vers l'est.
  • La Porte de la Barbacane, marché couvert du Moyen Âge qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [18].
  • Le Beffroi.
  • Le mausolée du XIVe siècle appelé le Tombeau du roi fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques.
  • La synagogue du XIIe - XIIIe siècle qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le .
  • L'hôpital (Acte notarié certifiant l'existence de l'hôpital de 1213).
  • Le pont et traces contigües d'un filon d'exploitation de galène.
  • Le pont roman du Parayre, sur l'Audiernes (vestige du moulin et de la maison du meunier).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Peyrusse-le-Roc Blason
D'azur au lion d'argent, au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or.
Détails
Armes de la famille de Peyrusse.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner

D'argent à trois poires tigées et feuillées de sinople.
Armes parlantes.

Blason attribué par Charles d'Hozier en 1696.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Paul Gleyrose, Monographie de la commune de Peyrusse (Aveyron), dans Monographies de communes, concours ouvert en 1897 par la Société des agriculteurs de France, Paris & Lille : J. Lefort - A. Taffin-Lefort, successeur, 1898, pp. 175-240
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Aimé Roux), Mont Basens : Brandonet, Complibat, Drulha, Galganh, Lanuèjols, Luganh, Mala Vila, Peirussa, Privasac, Rossennac, Valzèrgas, Vaurelhas / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Mont Basens, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 247 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-33-5, ISSN 1151-8375, BNF 36695401)

Galerie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[15].

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Peyrusse-le-Roc et Le Bas Ségala », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bastide Eveque » (commune du Le Bas Ségala) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Bastide Eveque » (commune du Le Bas Ségala) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. Il aurait dit : Vidi Petruciam speluncam latronum, « J'ai vu Peyrusse, une caverne de brigands », mais en fait cette expression tirée de l’Évangile n'a été utilisée qu'au Moyen Âge et ne se retrouve évidemment pas dans la Guerre des Gaules ; même légende au sujet de Tinchebray dans l'Orne, dénoncée par Émile Travers : « César aurait écrit : Tandem advenimus Tinchebraium speluncam latronum! Inutile de dire que cette phrase ne se trouve pas dans les Commentaires du conquérant des Gaules ; mais elle n’en est pas moins historique, et c’est Henri Ier, roi d’Angleterre et duc de Normandie, qui, selon Orderic Vital, dit au pape Calixte II, dans une conférence à Gisors en 1119 : Tandem Tenerchebraïum speluncam doemonum obsedi (Les Normands, la chicane et la potence d’après les dictons populaires, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1882, dont une bonne édition en ligne) ».
  8. « Site des maires de l‘Aveyron-liste des maires (doc pdf) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  13. Le Lot partie Centres d'excursions p. 259 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
  14. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  15. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  16. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Peyrusse-le-Roc - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  18. Notice no PA00094253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. « Pareloup (12) : Le farniente studieux n'est pas du cinéna », sur ladepeche.fr (consulté le )